« …il n’y a pas d’artiste à temps partiel, il n’y a pas d’artiste qui renonce à la souveraineté de l’art sur sa vie. Il n’y a qu’un engagement sans repos à la recherche de cet état d’émerveillement…
Georges Leroux, Partita pour Glenn Gould
S’engager à vivre cet état d’émerveillement, c’est être ouverts à découvrir du beau, du bon et du nouveau dans tout ce qu’on vit.
Ça veut dire aborder ce que la vie nous présente, et ce que ça touche en nous, avec la conviction que tout est parfait pour aimer et créer.
La merveille, c’est que quand on s’engage et s’ouvre ainsi, on a accès à un monde de possibilités inespérées qui était invisible et inaccessible pour nous auparavant.
L’autre merveille c’est que chacune des pratiques du Cœur Créateur développe votre don pour l’émerveillement.
En les faisant régulièrement vous deviendrez des artistes à plein temps.
Comme c’est mon anniversaire en fin de semaine, je prends congé d’écriture! Vous ne recevrez donc pas de billet lundi.
Que diriez-vous à la place de m’écrire une découverte que vous avez faite en lisant ce blogue, une expérience qui vous a surpris, émerveillés?
Je me sentirais pas mal gâtée!
Ôôôôôh!…. je ne sais pas trop comment te dire à quel point tes billets me font du bien. Je les consomme comme des vitamines… à amour prolongé.
Par exemple, lorsque ma « gnagnargneuse » (à la dent d’or) est sur le point de briser mon élan amoureux ou lorsque mes « ne pas » tentent d’étouffer mon inspiration créatrice, je relis quelques-uns de tes billets et voilà que je redeviens disponible à m’ouvrir à ce qui peut arriver… et ce n’est jamais la catastrophe ! 🙂
Ah ! la magie des mots, de tes mots débordants d’amour… qu’il a fallu aussi que j’apprenne humblement à recevoir.
Merci Denise et
« Émerveilleux » anniversaire !
Ôôôôh, quelle belle surprise de te lire ici et de savoir que tes antennes reçoivent bien mes ondes amoureuses!
Merci pour tes souhaits émerveillants.
Bonjour Denise,
D’abord, JOYEUX ANNIVERSAIRE et tout plein d’amour en cette nouvelle année!!!
Je veux me lancer dans le vide avec ce mal de ventre qui me poursuit pour aller découvrir…C’est assez! Il faut trouver! Je l’accueille en me disant que tout est parfait pour aimer et créer et OH! Surprise…je retiens quelque chose que je ne veux pas perdre. J’ai des gouttes de peine sur mes joues et je ne sais même pas pourquoi!
Lâche le morceau, je t’en pris…OH…J’entends «ce n’est pas permis»
QUOI,QU’EST-CE CE QUI N’EST PAS PERMIS?
Plus rien!
…
Je n’ai pas de découverte à t’offrir pour ton anniversaire! Et j’aimerais bien une piste de ton cru!
Je t’offre un élan d’amour pour te dire que je t’aime très fort!
XXX
Merci Christiane de ton bel élan d’amour!
Ce qui n’est pas permis? Regarde ce que tu résistes à sentir et à offrir sous prétexte
de ne pas être blessée, ou rejetée ou tout autre ‘ne pas’ qui t’interdit de suivre ce qui vient naturellement de toi.
Je viens de reparcourir tes blogues, mon Dieu qu’il y a de la substance là-dedans! Comment choisir? J’ai laissé courir mon intuition–boussole sur tes pages (que j’ai imprimées) et elle s’est arrêtée sur ton texte: Voulez-vous une date avec le Cœur Créateur ?
Je plonge dans ce billet sans trop comprendre pourquoi celui-là et pas un autre, et je m’entends tout à coup remplacer les mots « bel inconnu ou homme » par « mon roman ». Ce qui donne : commencez par faire les yeux doux à l’inconnu et à danser avec l’imprévu en vous disant avec la tendresse que vous aimeriez entendre dans la voix de votre beau roman :
– ce que je vis présentement est exactement ce que j’ai besoin d’embrasser pour recevoir ce que je désire d’une manière inespérée.
Ça me sonne une super cloche parce que je viens de frapper un super nœud dans la révision de mon 3e chapitre. Je ne vois plus clair, l’écheveau du récit et des dialogues me semble inextricable, c’est heavy, je ne sais plus trop quoi faire pour m’en sortir…
Je fais ensuite l’exercice que tu suggères pour être réceptive au cadeau contenu dans cette situation et y mettre de la légèreté et de la fantaisie : j’imagine qu’une grosse boucle rouge entoure mon roman et ce que je ressens face à lui.
Ma Myéline sort du garde-robe où mon «Ouach» l’enfermait et me donne aussitôt les frissons du ôh : je vois une petite boite à bijoux avec un superbe chou argenté dessus… ôh il y a un cadeau caché dans ce méli-mélo, pour moi et pour mes lecteurs…
Le croirais-tu, ma petite boite est sur mon bureau en ce moment prête à me dévoiler le merveilleux bijou contenu dans mon « je ne sais plus trop… » J’ai hâte de le découvrir!
Merci Denise pour tes pratiques qui me donnent des ailes au lieu de m’alourdir, partout dans ma vie, y compris dans mon travail d’écrivaine. J’espère que la vie sera aussi généreuse pour toi cette année que tu l’es pour nous tous.
Merci pour ta belle et riche histoire de création amoureuse.
L’essentiel pourc créer librement et avoir accès aux inspirations inespérées du Coeur Créateur c’est de laisser entrer de l’amour par n’importe quelle porte en recevant tout comme un présent et en offrant tout comme un don: nos chaos, nos noeuds et nos ‘je ne sais pas’ itou!
…En prenant des risques, répondit-elle à Brida. En courant le risque de l’échec, des déceptions, des désillusions, mais en ne cessant jamais de chercher l’Amour. Celui qui ne renonce pas à cette quête est gagnant. »
Paulo Coelho, Brida
Denise, quelle gagnante tu es !!!
Ton blogue est pour moi une source d’inspiration, de support, de joie. Comme j’aime ces peu importe quoi, c’est parfait pour aimer et créer. La curiosité que ça éveille, l’ouverture que ça demande, l’humanité que ça réveille… Tout cela est d’un telle bienveillance, d’un tel Amour !!!
Merci, merci, merci !!!
Bon anniversaire plein d’Amour !!!
Merci pour ce beau retour d’Amour Johanne, ça éclaire et réchauffe l’intérieur!
Quelle belle citation et tellement vraie, merci Johanne! Je ne me suis jamais vue comme une gagnante mais ce mot prend un tout autre sens quand on le relie à l’Amour. Alors je l’adopte!
Une expérience d’émerveillement:
Hier quelqu’un soulevait une contradiction chez moi. Il nommait ma dépendance à mon partenaire de travail malgré que je m’en plain. J’ai pris un temps pour laisser monter ce que cette affirmation me faisait vivre. Je ne pouvais plus cacher l’attente à laquelle je lui demande de répondre, sans le lui dire, sans que je le sache. Une attente de reconnaissance qui, je le sais maintenant, peut ne jamais venir. J’ai vu ainsi comment je ne me respectais pas pour l’obtenir et pour ne pas perdre ce lien d’amitié. J’ai goûté comment cette partie de la relation est insatisfaisante, empoisonnée. J’ai vu ma peur du vide si je retirais ma demande, ma peur du rejet et de l’hostilité si je la faisais clairement. Je suis resté… un temps devant ce malaise. Finalement, un souffle est venu du silence, j’ai vu ce qui agissait en moi, je suis parti à rire et mon coeur s’est ouvert. Je me suis rappelé de moi-même, vivant et vibrant. Après tant d’année de travail en commun, je vois le poids que je lui demandais de porter. Aujourd’hui je ris, plus léger et amoureux devant ce qui me reste à rapatrier dans cette relation, ma responsabilité, mon pouvoir, ma joie.
Bon anniversaire Denise!
Merci pour ton expérience d’émerveillement et d’allègement Jacques! Ton rire est libérateur..
Joyeux anniversaire chère Denise au coeur si grand,
Quelle belle réflexion… « il n’y a pas d’artistes à temps partiel. » Cette phrase m’accompagne depuis quelques jours et je tente de suivre ce filon qui me mène au Coeur créateur. Cet après-midi, ça pris la forme de travaux manuels dans notre nouvel appartement. Se salir les mains, être complètement imprégnée dans l’action, à nettoyer, à ranger du bois, à découper du carton, à remplir des sacs à ordures. Un plaisir si simple qui a été pendant 2 heures un moment de bien-être… un oasis au coeur de mon désert des derniers jours. Et quelle joie que de savoir que tout ça contribue à créer un foyer d’amour avec mon homme. J’ai pensé à toi.
Et hier soir, tu m’as fait un autre cadeau. J’étais dans les Cantons de l’est, à un endroit que tu connais bien, et tout à coup, je suis tombée face à face avec des toiles que tu as peintes dans les années 80. J’ai été émue, touchée par la douceur, la vulnérabilité, la fragilité, le regard perçant de tes personnages. J’avais envie de les prendre dans mes bras. J’avais envie d’être l’un d’eux et de me faire prendre dans tes bras.
Chacun de tes billets me fait le plus grand bien.
Tendresse et douceur pour ton anniversaire
Eugénie
Merci Eugénie! Heureuse que aies goûté au bonheur simple d’être absorbée dans l’action par amour… et que mes toiles t’aient donné le goût de l’amour.
Un élément de ton blogue qui m’a émerveillée, enchantée, fait rire et fait réfléchir: le vidéo du bébé qui danse en regardant la chanteuse qui danse à la télé. C’est tellement attendrissant et drôle! Et tes mots, Denise, qui accompagnent le vidéo, qui nous disent que si le bébé est si irrésistible, c’est qu’il est à 100% dans ce qu’il fait! Qu’il n’est pas là à se dire: » HO mon dieu! De quoi j’ai d’l’air? J’ai tu assez lever ma jambe là? ». C’est pour moi un ancrage solide pour me rappeler que si j’ai le goût de tripper, de baigner dans le bonheur, je dois arrêter de m’en faire avec ce que j’ai d’l’air!
Et une autre chose qui me vient de toi, l’importance du « pour le bonheur de tous ». Sortir de ma bulle pour contribuer au bonheur de tous, le mien et celui des gens qui m’entourent. Merci merci Denise!
Et bonne anniversaire à toi!! xxx
Merci Marie-Claude! Tu as raison quand on sort de sa bulle pour danser avec ce qui nous entoure pour la plus grande joie de tous, notre terrain de jeu s’agrandit beaucoup et on tripe tellement plus!
Bien que chacun de tes billets soit prétexte à différentes découvertes, pour moi, c’est ce que tu réussis à faire de ce blogue qui est la plus belle découverte.
À chaque billet, je ressens ton sourire, ton énergie, ton invitation à la création, ta curiosité bienveillante qui nous invite à être aussi attentifs à ce que nous sommes, profondément…
Tes billets me font sourire, réfléchir, vibrer.
Je tiens à souligner le plaisir que j’ai aussi à te suivre sur Facebook; les petites questions, les petits jeux auxquels tu nous convies, entre tes billets, sont toujours une belle occasion de sourire, de respirer… et surtout de ne rien manquer!
(et en langage codé ( ! ) j’ajoute que je trouve que l’élève a dépassé le maître! ; o))
Merci, ça me fait vraiment du bien de recevoir tes mots et de voir le bonheur
et l’inspiration que les miens (et ma présence derrière) te procurent!
Contente de savoir que j’ai bien appris…
Chacun de tes billets publiés m’a tenu la main, donné la main, poussé dans le dos, flatté l’épaule, fait les yeux doux ou les gros yeux! Chacun m’a invité à respirer un peu plus dans l’espace de ma conscience, dans l’espace de mon coeur, dans l’espace de ma pressence. J’y ai rencontré sourires, fou rire, larmes (comme à l’instant, juste en lisant les trois premiers mots du billet d’aujourd’hui: il n’y a pas d’artiste à temps partiel) suivis de réflexions, idées, prises de décision, culpabilité, « enrageage » contre toi (généralement quand tu as tellement raison) , « enrageage » contre moi (quand j’ai tellement pas raison)!
Mais le plus formidable c’est que c’est un petit grand rendez-vous important avec toi et avec moi qui me rappelle mon engagement dans mon désir de faire ma vie en accord avec les accords du coeur créateur…
Merci Denise.
xxx
Nathalie
Merci Nathalie!!!