« On ne peut pas être sur un pied de guerre permanent et laisser entrer le bonheur en même temps »

Jean Barbe

 Être sur un pied de guerre, c’est en vouloir aux autres de nous avoir fait du mal. Pour continuer à leur en vouloir, il faut continuer à être mal, quand même!

Il faut se fermer à eux aussi. Vous n’avez qu’à penser à un moment où vous boudiez pour le réaliser. Se fermer aux autres c’est fermer la porte à ce qu’on a de plus beau, de plus tendre, de plus libre et… au bonheur.

Impossible alors de s’ouvrir à la magie de la découverte, de s’abandonner à l’amour ou de goûter à la joie gratuite. Pas question : ils pourraient faire tomber nos remparts et nos ressentiments et on sentirait notre vulnérabilité!

C’est ce qu’on veut éviter à tout prix.

Pourtant, c’est seulement quand on accepte notre vulnérabilité qu’on peut laisser entrer le bonheur et y goûter.

Lorsque vous en voulez à mort à quelqu’un ou à une situation, demandez-vous :

— Qu’est-ce que j’ai besoin d’embrasser chez moi et d’exprimer pour ne plus avoir de ressentiment envers cette personne ou cet événement ? 

Ouvrez-vous à ce qui monte en vous en réponse à cette question. Recevez-le, écoutez-le, et exprimez-le si vous en sentez le besoin.

Ou encore, demandez-vous ce que vous auriez besoin d’embrasser en vous pour vous ouvrir à recevoir ce que vous lui reprochez de ne pas vous offrir.

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